Des chercheurs du Canada et de l’Afrique du Sud unissent leurs efforts pour découvrir les facteurs de protection contribuant à la résilience des jeunes
Dr Michael Ungar
Titulaire d’une chaire de recherche du Canada sur la résilience des enfants, des familles et des communautés, ainsi que professeur en travail social à l’Université Dalhousie, le Dr Michael Ungar dirige un programme de recherche multinational d’une durée de cinq ans intitulé Resilient Youth in Stressed Environments (Résilience des jeunes dans des environnements stressants) (RYSE). Son équipe de chercheurs multisectorielle et multidisciplinaire s’alliera à des partenaires de la communauté et de l’industrie dans deux communautés canadiennes (Drayton Valley en Alberta et Cambridge Bay au Nunavut) et une communauté sud-africaine (Secunda au Mpumalanga).
Dr Michael Ungar, Centre de recherche sur la résilience, Département de travail social de l’Université Dalhousie
Photo: avec la permission de Dr Michael Ungar
Le Dr Michael Ungar, du Centre de recherche sur la résilience et de l’École de travail social de l’Université Dalhousie, dirige une équipe de recherche multidisciplinaire travaillant à l’étude « Résilience des jeunes dans des environnements stressants » (RYSE).
Cette équipe internationale d’experts dans divers domaines, dont la biologie, l’environnement et la santé mentale, entreprend une étude de cinq ans sur la résilience des jeunes ayant vécu des cycles consécutifs d’expansion et de ralentissement économiques, et dont la vie a été bouleversée par des catastrophes qui ont modifié leur environnement.
Sur une période de plusieurs années, l’équipe effectuera des études de cas qui fourniront de l’information précieuse sur la résilience physique et psychologique des jeunes, des familles et des communautés. La recherche comportera également un examen socio-écologique de la résilience des systèmes environnementaux avec lesquels ils interagissent, de l’impact des industries extractives et de l’effet de la consommation de pétrole et de gaz sur les changements climatiques qui menacent le bien-être des jeunes.
Le Dr Ungar espère recueillir des données probantes sur les facteurs qui accroissent la capacité d’adaptation des jeunes aux changements dans leurs environnements social, économique et naturel.
Les conclusions de la recherche serviront à guider les politiques et programmes sociaux qui permettront de créer les environnements physiques et sociaux dont nous avons grandement besoin pour assurer le bien-être des jeunes vivant dans des communautés vulnérables aux effets des changements économiques et climatiques.
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