Incorporer les perspectives autochtones à l’INSMT
Message du directeur scientifique, le Dr Samuel Weiss
L’INSMT des IRSC et son conseil consultatif d’institut (CCI) travaillent ensemble pour maximiser les bienfaits des activités de l’Institut et leurs répercussions sur la collectivité. En 2020, notre engagement à améliorer la santé et le bien-être des Canadiens et Canadiennes est plus ferme et plus éclairé que jamais, grâce aux leçons que nous avons tirées l’année dernière.
Une leçon en particulier nous vient à l’esprit lorsque nous pensons à 2020 : la plus récente réunion en personne de notre CCI, tenue à Prince George (Colombie Britannique), à l’automne 2019. Bien que toutes nos réunions soient utiles, celle-là a été en grande partie consacrée à l’écoute des peuples autochtones locaux et au dialogue avec eux. Je sais que je parle au nom de toute l’équipe en affirmant que ce fut une expérience édifiante et révélatrice que nous intégrerons à chaque interaction, possibilité de financement et décision opérationnelle que nous prendrons en tant qu’institut.
Je tiens à exprimer ma sincère reconnaissance aux personnes qui nous ont inspirés au cours de cette remarquable réunion. Je remercie en particulier :
- Henry Harder, qui nous a gracieusement accueillis et guidés dans une discussion sur les activités potentielles de recherche et d’application des connaissances liées au bien être mental des Autochtones;
- l’aînée Darlene McIntosh, pour avoir ouvert notre réunion et nous avoir présenté un historique du territoire sur lequel nous étions réunis;
- Stephanie Erickson, candidate à la maîtrise en counseling à l’Université du Nord de la Colombie Britannique, qui a été notre conférencière et qui nous a fait part de son travail pour revitaliser les façons d’être et de guérir autochtones, tout en incorporant des techniques thérapeutiques globales qui transcendent le traumatisme intergénérationnel;
- Kym Gouchie [en anglais seulement], pour nous avoir fait profiter de son incroyable talent de conteuse et de chanteuse, et pour s’être jointe à nous au souper.
Je ne suis pas le seul à penser que l’objet de notre séjour à Prince George ne s’est pas limité à une simple réunion, et c’est grâce à ces personnes qui ont pris le temps de nous parler de leur travail et de nous raconter leur histoire. J’attends avec impatience la prochaine réunion en personne de notre CCI, qui se tiendra au printemps, à Vancouver (Colombie Britannique).
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